Je l’ai eue comme collègue dans une grande maison d’édition, je l’ai vue jour après jour revenir au travail après avoir passé la soirée ou le week-end à travailler comme une forcenée sur son premier roman, je me suis précipité en librairie pour l'acheter, je l’ai aimé, je l’ai dévoré. Isabelle Laflèche, auteure de « J’adore New York », vendu à plus de 45 000 exemplaires au Québec, dans le Canada anglais et en Allemagne, verra son bébé être lancé le 4 octobre prochain partout aux États-Unis !
J’adore New York, c’est l’histoire d’une avocate française qui fait son entrée dans un grand cabinet d’avocat new-yorkais, c’est la jungle, les coups bas, la course à la facturation d’innombrables heures de travail, les cocktails entre clients, les grands magasins, les vêtements griffés, la quête de l’amour. C’est une femme qui affronte une nouvelle ville et un nouveau milieu en remettant en question ses valeurs, ses désirs et ses rêves. L’homme qu’elle vient de rencontrer est-il à la hauteur de ses aspirations ? Veut-elle vraiment consacrer la majeure partie de sa vie au travail ? Aux contrats de millions entre grandes corporations ?
Possédant toutes les qualités de la chicklit des grandes occasions (quête amoureuse rocambolesque, fraîcheur et légèreté), J’adore New York dépasse ses voisins de tablettes d’une tête grâce à l’aspect professionnel et introspectif de son histoire. En plus de courir les magasins et d’espérer l’amour, la belle avocate nous fait découvrir avec ironie le milieu des avocats sous un tout nouvel angle, en plus de nous inviter dans sa réflexion sur son avenir.
J’adore New York, c’est l’histoire d’une avocate française qui fait son entrée dans un grand cabinet d’avocat new-yorkais, c’est la jungle, les coups bas, la course à la facturation d’innombrables heures de travail, les cocktails entre clients, les grands magasins, les vêtements griffés, la quête de l’amour. C’est une femme qui affronte une nouvelle ville et un nouveau milieu en remettant en question ses valeurs, ses désirs et ses rêves. L’homme qu’elle vient de rencontrer est-il à la hauteur de ses aspirations ? Veut-elle vraiment consacrer la majeure partie de sa vie au travail ? Aux contrats de millions entre grandes corporations ?
Possédant toutes les qualités de la chicklit des grandes occasions (quête amoureuse rocambolesque, fraîcheur et légèreté), J’adore New York dépasse ses voisins de tablettes d’une tête grâce à l’aspect professionnel et introspectif de son histoire. En plus de courir les magasins et d’espérer l’amour, la belle avocate nous fait découvrir avec ironie le milieu des avocats sous un tout nouvel angle, en plus de nous inviter dans sa réflexion sur son avenir.
Il y a une dizaine de jours, j’ai croisé une Isabelle Laflèche qui venait tout juste de mettre la touche finale à la suite très attendue de son premier roman, alors que celui-ci s’apprête à conquérir les États-Unis.
Jetez un coup d’œil sur cette vidéo (http://vimeo.com/24786259) qui met en image le bon goût et l’intérêt porté à cette charmante lecture made in Quebec, alors que J’Adore Paris arrivera dans quelques mois sur nos tablettes.
Par Samuel Larochelle, dit le Sage Gamin
Critiques roman :
"À toi" de Kim Thuy et Pascal Janovjak : écrire un roman comme on fait l'amour
"Les bonnes filles plantent des fleurs au printemps" de Claudia Larochelle : la fragilité de l'abandon en écriture
Kim Thuy : une rencontre, un regard, un roman. Ru.
Sortie du 8e Aurélie Laflamme : à India Desjardins, mon extra-terrestre préférée
"L'École des Films" : déclaration d'amour père-fils à travers le 7e Art
17 façons de "Cherchez la Femme", dont 9 que je ne veux jamais oublier
"Encore un Pont à Traverser" : ce roman qui valait mieux que des feux d'artifice
"L'École des Films" : déclaration d'amour père-fils à travers le 7e Art
17 façons de "Cherchez la Femme", dont 9 que je ne veux jamais oublier
"Encore un Pont à Traverser" : ce roman qui valait mieux que des feux d'artifice
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire